l’histoire
Sarastro, Grand-Prêtre d’Isis et Osiris, a enlevé Pamina, la fille de la Reine de la Nuit. Tamino, prince téméraire épris de la princesse part à sa recherche, accompagné de Papageno l’oiseleur. Pour les protéger, la Reine de la Nuit leur remet deux talismans contre les dangers : un carillon magique et une flûte enchantée... à peine les deux amoureux se sont-ils trouvés qu’on les sépare. Désespérée, Pamina, déjà rejetée par sa mère, doit résister à la tentation de se suicider. Puis elle se reprend, et retrouve Tamino au moment où il va aborder les ultimes épreuves. Ensemble, ils en sortiront vainqueurs. Le conte se transforme en une belle histoire d’amour.ce qu’ils en disent
être académique avec les œuvres me semble contraire à la nature même de l’art mozartien. L’idée est d’arriver à ce que les chanteurs – de jeunes chanteurs – avancent de manière naturelle, vivante et aimée dans le déroulement de l’intrigue sans que l’on impose de projections, des constructions, des vidéos ou des décors qui tournent... En l’abordant dans un esprit ludique, Mozart se réinvente à chaque instant, et c’est dans cette direction, profondément respectueuse sur l’essentiel, que nous allons travailler. Avec cette intuition que chez Mozart, il ne s’agit pas de cacher ou de moderniser, mais de faire apparaître... Peter Brookce qu’ils en pensent
Peter Brook libère le chef-d’œuvre de Mozart des conventions du genre. Pour faire surgir du livret les émotions les plus pures. Aurélien Ferenczi, TéléramaDébarrassée d’une scénographie pour grande scène et servie par des chanteurs heureux d’être si près des spectateurs, avec lesquels ils jouent d’ailleurs, cette Flûte enchantée est d’une grande beauté et permet de toucher un public différent. Gagnant sur toute la ligne. éric Libiot, L’Express