l’histoire
En France, au Moyen-âge, le roi des fous avait le droit de se moquer, une fois par an, des grands de ce monde. Tout comme lui, le comte de Bouderbala rit de tout, de nous, mais aussi de lui et ne s’épargne pas davantage qu’il ne nous épargne. Il livre sur un rythme effréné et tourbillonnant sa lecture du monde. Il épingle les sociétés française et américaine, leurs richesses, leurs travers, leurs bassesses. Une vision décalée, provocatrice, parfois grinçante mais pleine de tendresse.ce qu’ils en disent
Mon objectif, c’est que les gens passent une bonne soirée et se disent en sortant du spectacle “ce mec-là ne m’a pas arnaqué, je peux lui envoyer toute ma famille et l’inscrire sur mon testament…” Sami Amezianece qu’ils en pensent
Le Comte, c’est une version déterritorialisée de l’humour, jamais communautaire, qui emprunte autant à Fellag qu’à Desproges, avec en sous-main la bonhomie de Coluche. Les InrocksChambreur patenté, il officie dans la case (encombrée) stand-up, où il se livre aussi bien à une étude comparative des us et coutumes aux états-Unis et en France, qu’à un cours de français vachard stigmatisant l’inanité d’une certaine écriture rap. Libération