l’histoire
Charlie Gordon est un jeune simple d’esprit. Un jour, des médecins apprentis sorciers lui proposent une opération du cerveau pour rattraper son retard mental, cette intervention ayant réussi avec une souris de laboratoire nommée Algernon. L’opération est un succès. Commence alors le combat pacifique entre Algernon et Charlie sur fond de découverte du savoir, de l’intelligence, de la connaissance, de l’amour. Malheureusement, la souris Algernon donne des signes inquiétants de dégénérescence cérébrale et meurt. Charlie, qui comprend que son sort est lié à celui d’Algernon, tente d’échapper à cette issue fatale.
Grégory Gadebois a obtenu le prix du meilleur comédien lors du Palmarès du Théâtre en 2013, tandis que Des fleurs pour Algernon était primé meilleur spectacle.
ce qu’ils en disent
Jouer, c’est une affaire entre soi et soi, on ne peut pas demander trop au public. Si un acteur se plante, c’est qu’il n’a pas mis la flèche dans le mille. Ce n’est pas de la faute du public, même s’il existe des ondes et des atmosphères sur le plateau et dans la salle. On peut avoir la sensation d’être écoutés formidablement, mais c’est un monologue entre soi et soi. C’est là que tout se passe. Ce qui passionne les gens c’est de voir quelqu’un en réflexion plus qu’en émotion. Anne Kessler
ce qu’ils en pensent
à la fois sensible, émouvant, prodigieux. Et d’une grande force. Un vrai coup de cœur. Sylviane Bernard-Gresh, Télérama
Seul en scène, Grégory Gadebois confirme qu’il est l’un des plus brillants acteurs de sa génération. Dans cet exercice de haute voltige, suspendu au-dessus du vide, Grégory Gadebois est impressionnant. Jack Dion, Marianne
1ère 20132014