l’histoire
Au Quartier Latin, un groupe d’étudiants désargentés luttent contre la misère quotidienne en vivant joyeusement d’amour et d’eau fraîche. Deux couples se forment, tout en contrastes : la petite cousette Mimi et son poète Rodolfo font vibrer leur coup de foudre et déclarent leur amour à leurs amis durant la soirée de Noël, tandis que le peintre Marcello affronte les coups d’éclat de Musette, sa maîtresse volage. Mais bientôt, Mimi et Rodolfo ne s’entendent plus et finissent par rompre. En réalité, Mimi se sait condamnée par la tuberculose.ce qu’ils en disent
Quand je prends une œuvre, je lis avec attention les indications de l’auteur. Ces quelques mots écrits à la fin de la distribution de La Bohème : « L’action est à Paris, au Quartier Latin, en hiver 1830 » m’ont interpellé. En effet, les « Trois Glorieuses » de juillet 1830 ont été suivies par un hiver très froid qui explique en partie la maladie de Mimi. Ces trois journées tumultueuses ont vu un soulèvement de la jeunesse, des émeutes ont éclaté, puis une révolution est née. Des barricades se sont élevées dans les quartiers de Paris. Je me suis dit : ça me rappelle quoi ? Daniel Benoince qu’ils en pensent
Daniel Benoin est un fondateur dans l’âme. France InfoCette initiation à la vie et à ses nombreuses embûches qui mêle, jeunesse, précarité, amitié, amour et mort, est plus que jamais d’actualité. La mise en scène de Daniel Benoin nous en rappelle de manière très convaincante son intemporalité. Le Parisien
Ça marche ! C’est cohérent. La cohérence est la qualité première d’une mise en scène. Bel exercice théâtral au pays de l’art lyrique. André Peyreigne, Nice-Matin
C’est le triomphe de La Bohème, version 68. Une mise en scène efficace et fascinante avec l’ironie nécessaire de Daniel Benoin. Dejan Bozonic, Il Gazzetinno
Enfin une mise en scène de La Bohème pleine de vie, pleine d’idées. Helmut Christian, Kleine Zeitung