credo

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credo en karyo

l’histoire

Tchéky Karyo, acteur de théâtre puis de cinéma (Le Retour de Martin Guerre, Les Nuits de la pleine lune, L’Ours, Nikita, Jeanne d’Arc, Patriote, Les Lyonnais, Belle et Sébastien, The Missing ...) a une autre corde à son arc : la musique. Il la fait vibrer intensément dans un deuxième album, Credo. Brut, massif, chaleureux parfois inquiétant, ce deuxième album de Tchéky Karyo pose les bases d’un style n’appartenant qu’à lui et attachant à bien des égards. Unique dans son approche d’une musique qu’il créé avec ses tripes et sa personnalité, le français nous emporte dans son univers excessivement cinématographique. Credo semble être la bande son d’un cabaret déglingué support aux réflexions sensuelles et poétiques d’un artiste complet.

ce qu’ils en disent

« Mon premier album était un petit manifeste. Je l’ai appelé Ce lien qui nous unit, parce qu’il était fait de toutes les différences qui me traversent. Cet album a vécu sur scène avec des musiciens pendant deux années de tournée. Puis j’ai réfléchi à ce deuxième album. Je me suis dit que j’irais plus loin et serais plus en accord avec moi-même si je montais un groupe, pour approfondir la musique, trouver une cohérence un son à nous, à fleur de peau, chaud, amoureux ... Créer en prenant le temps de perdre du temps avec eux, comme les beaux espaces retranchés qu’on oublie dans certaines maisons qui prennent le temps et qui ravissent les enfants ! [...] » Tchéky Karyo

ce qu’ils en pensent

De sa voix chaude qui s’accorde bien au tempo de la ballade, il interprète en français et en anglais des chansons dont il compose les musiques. Contrairement à d’autres acteurs qui se lancent dans la chanson sur un coup de tête et souvent pour des raisons marketing, Tchéky Karyo aborde cette carrière avec humilité. Jean-Francois Lixon, France Info
Un cheminement à l’instinct, du moins sans a priori, qui fait de ce Credo un monde à part, délivré de la dictature du couplet- refrain imposée par une production ambiante très (trop) formatée. Pas étonnant, au fond. L’album ressemble tellement à l’inclassable et tellement classe Tchéky Karyo. Jean-Frédéric Tronche, Le Nouvel Observateur

2015
2016