l’histoire
Michel Jonasz, Manu Katché et Jean-Yves d’Angelo se sont retrouvés en mousquetaires du jazz rejoints par un petit nouveau, Jérôme Regard à la contrebasse. Les voilà parés à reprendre la route, battre la mesure et marquer le tempo, avec une énergie plus que communicative. « La boîte de jazz », « Minuit sonne », « Lucille » et tant d’autres s’affirment comme des morceaux inoxydables que le public reprend en chœur et qui se sont bonifiés avec les années. La preuve en est administrée par ces maîtres du swing, musiciens d’exception et amis de toujours.ce qu’ils en disent
J’ai toujours 18 ans quand je monte sur une scène. C’est le même enthousiasme. C’est euphorique la scène pour moi. Michel Jonaszce qu’ils en pensent
Depuis ses débuts en solo après avoir accompagné Vigon ou Christophe, et ses premiers succès au début des années soixante-dix, Jonasz ne s’est jamais éloigné de la scène bien longtemps. Sa délité, c’est aussi le rhythm’n’blues, découvert à travers le « What’d I say » de Ray Charles au début des années soixante. Une musique qui a forgé son style et sa marque de fabrique, et qui fait la part belle à son répertoire scénique. Le ProgrèsDans l’air, il dessine ses mélodies, alchimiste du groove, modèle ses mots, claque des mains, danse. Sur de beaux rails, ses tubes défilent, surprenants de panache. L’auditoire, ravi, embarque sur les riffs funky de « Groove Baby Groove », les effluves latins, à haute teneur poétique, de « Boléro », les appels brésiliens de « Bossa », sur lequel Manu le sorcier, sort le jeu fou d’une impro démoniaque, les rythmiques imparables de « La FM qui s’est spécialisée Funky »... Anne-Laure Lemancel, RFI Musique
Avec un amour des lignes mélodiques parfaites, des rythmes chaloupés du boléro, Jonasz vous distille des textes ciselés avec des airs moitié berceurs, moitié rêveurs au long cours. La complicité d’il y a trente ans revient, comme si c’était hier, avec un pianiste virtuose, et un batteur adulé par les jeunes générations. Jonasz, c’est un billet pour planer et planer encore. Embarquement immédiat. Patrick Goupil, La Nouvelle République