l’histoire
Pour ce nouveau spectacle aux allures d’ancien cabaret, François Morel a fait appel une fois encore à Antoine Sahler aux compositions et claviers. Entre musette et jazz, paroles et musiques, mélancolie et drôlerie, François Morel tente avec bonheur de réenchanter le quotidien. En miniaturiste délicat, le comédien-chanteur dépeint des existences en prenant toujours le parti de la vie. Son tour de chant est aussi l’occasion de rendre hommage aux maîtres Aznavour ou Brassens.ce qu’ils en disent
Raconter des histoires, encore et toujours. Qu'est-ce que je peux faire d'autre ? Ce serait le spectacle qui viendrait juste après la fin du monde. Raconter des histoires, mais cette fois-ci en chansons. Plaisir de la musique et surtout des musiciens. Antoine Sahler, harmonisateur en chef, accompagné de Lisa Cat-Berro ou Sophie Alour ou Tullia Morand, Muriel Gastebois et Amos Mah. On ne change pas une équipe qui gagne (à être connue). Traquer l'émotion toujours et sans répit. Chanter, rire, pleurer, se consoler. Juliette dirigerait les opérations avec le sérieux d'une Générale d'Artillerie dans un bac à sable. On ne change pas une équipe qui gagne (du temps) à se connaître. François Morelce qu’ils en pensent
Avec un sens aérien de la caricature et dans une forme de clins d’oeil, François Morel s’amuse à nous rappeler le music-hall d’antan. Gil Chauveau, Charlie HebdoJamais encore cette voix n'avait été si ronde, si colorée, si humaine (quelque part entre Reggiani et Souchon) et si bien accordée à ses deux meilleures inspirations : la mélancolie et l'ironie, que lient entre elles une fausse candeur. Jérôme Garcin, L’Obs
Le spectacle réchauffe le coeur d'un public avide de détente et de gentillesse. Les rappels sont nombreux. On ne va pas se quitter comme ça ! La vie rêvée de François Morel joue les prolongations. Philippe Chevilley, Les Echos
rencontre avec l'équipe artistique à l'issue de la représentation du vendredi 15 décembre