Elle a vécu d’art et d’amour,
Alain Duault raconte Maria Callas
tandis que Béatrice Uria-Monzon interprète
un florilège du répertoire de la diva assoluta.
Représentation
vendredi 8 décembre 2017 à 20h30
création récital salle Jacques Audiberti
avec Alain Duault, Béatrice Uria-Monzon piano Antoine Palloc
production anthéa, théatre d'Antibes
l’histoire
Depuis le 16 septembre 1977, à l’âge de
53 ans, Maria Callas est toujours célébrée et son
mythe tenace. Le terme diva semble avoir été
inventé pour elle. Tragédienne sur scène et
tragique dans sa vie, la Callas est une source de
fantasmes qui continue d’alimenter la chronique.
Mais c’est avant tout à l’artiste unique et absolue
qu’ont décidé de rendre hommage le critique musical et
poète Alain Duault avec la mezzo-soprano Béatrice Uria-
Monzon qui a accepté de relever le défi. Il s’agit en effet
pour elle d’interpréter des airs parmi les plus difficiles du
bel canto. Ainsi, en un soir, sera-t-elle à la fois Violetta,
Carmen, Manon, Tosca, Norma... Au final, un spectacle
pour voix, piano et récitant afin de toucher au plus près la
vérité de l’art, de la vie et l’amour d’une femme.
ce qu’ils en disent
Sa voix, c’est vrai, possédait quelque
chose de rare, mais elle était dynamisée par une présence
renversante, une puissance tragique, une force de
conviction ardente. Surtout, elle possédait ce don d’être
multiple, de s’incarner dans des rôles et des vocalités
plurielles. Béatrice Uria-Monzon est aujourd’hui cette
chanteuse moderne. Alain Duault
au programme
Tosca : « Vissi d’arte » ;
Gioconda : « Suicidio » ;
Norma : «Casta Diva » ;
La Traviata : « Addio del passato » ;
Macbeth : « Vieni t’affretta » ;
Forza del destino : « Pace, pace, mio Dio » ;
Cavalleria Rusticana : « Voi lo sapete » ;
Carmen : « Habanera » ;
Manon Lescaut : « Sola, perduta, abbandonata ».