l’histoire
On adore Michel Jonasz. Il était déjà à anthéa la saison dernière avec sa formation en quartette. Le succès fut tel qu’il revient interpréter ses classiques avec son grand complice Jean-Yves d’Angelo. C’est la troisième fois qu’ils se livrent à cet exercice sans filet du « piano-voix ». Mais entre eux l’alchimie est totale et on ne compte plus leurs heures d’envol. Ensemble, ils reprennent leurs créations pour la plupart issues du répertoire des années 70-80 : La boîte de jazz, Lucille, Joueurs de blues, Super nana, Je t’aimais tellement fort que j’t’aime encore et quelques perles plus confidentielles : Les réussites ou Les odeurs d’éther. Et comme Michel Jonasz est joueur et généreux, il profite du cadre intime pour se livrer tout au long de son récital à des apartés avec le public, il raconte des histoires souvent très amusantes et offre pour finir un show tout à fait complet et unique en son genre.ce qu’ils en disent
J’ai toujours 18 ans quand je monte sur une scène. C’est le même enthousiasme. C’est euphorique la scène pour moi. Michel Jonaszce qu’ils en pensent
Depuis ses débuts en solo après avoir accompagné Vigon ou Christophe, et ses premiers succès au début des années soixante-dix, Jonasz ne s’est jamais éloigné de la scène bien longtemps. Sa fidélité, c’est aussi le rhythm’n’blues, découvert à travers le « What’d I say » de Ray Charles au début des années soixante. Une musique qui a forgé son style et sa marque de fabrique, et qui fait la part belle à son répertoire scénique. Le ProgrèsAvec un amour des lignes mélodiques parfaites, des rythmes chaloupés du boléro, Jonasz vous distille des textes ciselés avec des airs moitié berceurs, moitié rêveurs au long cours. Jonasz, c’est un billet pour planer et planer encore. Embarquement immédiat. Patrick Goupil, La Nouvelle République