musiques originales Pierre Le Bourgeois - Peter Corser,
Raphael Cruz et Violette Wanty pour le trio
Cengiz Djengo Hartlap
textes originaux & adapatation de poèmes japonais Alice Roland
éclairages et régie générale Begoña Garcia Navas conception vidéo et réalisation Olivier Simola et Laurent Radanovic scénographie Alban Ho Van, assisté d’Ariane Bromberger création costumes Jean Malo, Laurence Chalou (Vivaldis) assistés de Charlotte Coffinet et Peggy Housset
régie lumières Chloé Bouju régie plateau et vols Léon Bony régie plateau et construction Guillaume Troublé régie son Jean-Pierre Spirli
et également Benoit Simon (développement logiciels vidéos), Mathias Delfau (images duo aérien), Malika Chauveau
(paravents Vivaldis). remerciements : Ken Masumoto
musiques additionnelles
Antonio Vivaldi : extraits du Stabat Mater (Andreas Scholl , Ensemble 415 Chiara Bianchini) et du Concerto pour 2
Mandolines en Sol Majeur (Claudio Scimone) / Antonio Carlos Jobim, Samba de Uma Nota Só (The Composer of
Desafinado Plays) Hoopi Sol, Farewell Blues / Joseph Racaille, Cléo Mambo / Tau Moe Family, E Mama Ea / Paulinho Da
Viola, Dança de Solidão / Shugo Tokumaru, Bricolage music (Toss album)
production déléguée Compagnie DCA / Philippe Decouflé coproduction Chaillot - Théâtre National de la Danse (Paris), La Coursive - Scène Nationale de La Rochelle, Espace
Malraux - Scène Nationale de Chambéry et de la Savoie, La Filature - Scène Nationale de Mulhouse, Théâtre de Nîmes
- Scène Conventionnée pour la Danse Contemporaine, Bonlieu - Scène Nationale d’Annecy
avec le soutien du Théâtre National de Bretagne (Rennes)
La Compagnie DCA remercie la maison Hermès.
l’histoire
Cinq pièces courtes qui
explorent la singularité chorégraphique
qui leur est propre. Dans Un duo deux artistes se
livrent à une performance physique et jouent leur
propre musique en live ; Vivaldis propose une
variation de danse pure sur un ensemble de
musiques de Vivaldi ; Le trou ou l’évolution en 10
minutes développe un nouveau procédé vidéo :
le looping ; « R » est un duo aérien ; dans
Pièce japonaise il sera question du Kabuki et
de Tamasaburo Bando, de peinture et
d’Hokusaï, du mouvement des piétons dans
la ville, de tremblements de terre et de
malentendus…
ce qu’ils en disent
Tex Avery m’a
beaucoup inspiré dans la recherche de
gestes a priori impossibles à réaliser... Il me
reste toujours quelque chose de ce désir, une
bizarrerie dans le mouvement, quelque
chose d’extrême ou de délirant... Je recherche
une danse du déséquilibre, toujours à la limite
de la chute. Avec des modèles comme les Marx
Brothers par exemple, et en particulier Groucho
Marx, j’ai cultivé la prise de risque malicieuse, la
répétition comique de l’erreur... Philippe
Decouflé