par l'équipe de la face cachée de la lune accueillie à anthéa en 2017
Le compositeur Thierry Balasse
nous invite à un voyage chimérique
dans le temps et l’espace,
sur la planète musicale 1969.
Représentation
mercredi 23 mai 2018 à 20h30
création musique durée 1h30 salle Jacques Audiberti
synthétiseurs et électroacoustique
Thierry Balasse basse et chant Elise Blanchard chant Elisabeth Gilly batterie Eric Groleau piano synthétiseur et chant
Cécile Maisonhaute performance aérienne Chloé Moglia
ou Fanny Austry guitare Eric Lohrer scénographie et lumières Yves Godin écriture aérienne Chloé Moglia
production Compagnie Inouïe-Thierry
Balasse coproduction La maison de la Musique de Nanterre, Les Scènes du Jura-scène nationale, la MCB° - scène nationale de Bourges, La Filature – scène nationale de Mulhouse, Tandem – scène nationale d’Arras et de Douai, le Théâtre Durance – scène conventionnée à Château-Arnoux Saint-Auban, Le Théâtre scène nationale de St-Quentin-en-Yvelines, La Barcarolle à Saint-Omer.
avec l’accueil en résidence de création La Maison de la Musique de Nanterre et le Pôle culturel d’Alfortville.
l’histoire
L’année 69 fut non seulement érotique mais
aussi astronautique et électronique. Fin juillet, le monde
entier a le regard vissé à son téléviseur : pour la première
fois, un homme va poser le pied sur la Lune. Au même
moment apparaissent sur le marché deux synthétiseurs
qui marqueront le son des années 60-70. Avec sa capacité
à transformer l’électricité en sons, le synthétiseur offre un
nouvel outil de création et c’est tout un imaginaire
« cosmique » qui entre dans la musique. Le spectacle
s’offre comme la bande musicale imaginaire de la Mission
Apollo 11 : un voyage sonore et poétique pour musiciens,
circassien, machines et voix humaines.
ce qu’ils en disent
Le souvenir, la mémoire comme
source d’émotions retrouvées et renouvelées. Cette
mémoire qui m’a donné le désir de retourner sur The Dark
Side of the Moon (la lune, déjà présente) avec les Pink
Floyd, qui m’a donné envie de ré-explorer la Messe pour le
temps présent avec Pierre Henry, et qui aujourd’hui me
remet en lien avec l’enfant de 5 ans que j’étais lorsque au
mois de juillet 1969 mon père m’a réveillé dans la nuit
pour voir le « premier homme à marcher sur la lune ».
Thierry Balasse