l’histoire
Arrivée en France à l’âge de 10 ans, Sarah Doraghi ne connaissait pas un mot de français. Aujourd’hui, elle est chroniqueuse à la télévision, écrit des livres et, désormais, présente un one-woman-show où elle raconte comment elle est devenue « bien de chez nous » sans pour autant gommer ses origines. De tics de langage en spécificités nationales, elle fait défiler avec beaucoup d’humour et de légèreté ses années passées en France, depuis son départ d’Iran jusqu’à l’obtention de son passeport français. Avec elle, la double nationalité, c’est le double d’amour.ce qu’ils en disent
J’aime la France sans relâche, en continu. Ce spectacle était mon besoin de crier à cette France que si l’actualité la rend triste, qu’elle n’oublie jamais le pouvoir extraordinaire de ses valeurs, de ses principes, de ses trois mots-clés Liberté, égalité, Fraternité qui ont éclairé nos cahiers et nos livres à nous, enfants de l’exil, qui avons étudié ici, sous la lumière de ces trois petits lampions, seule arme contre l’obscurité. Sarah Doraghice qu’ils en pensent
La Franco-Iranienne Sarah Doraghi démontre de manière éclatante qu’on peut être drôle sans être acide. Michèle Bourcet, TéléramaSarah Doraghi réussit à vous singer les Parisiens aussi bien que sa mère, sa grand-mère, ses tantes ou les Iraniennes-qui-mangent-du-porcet- boivent-beaucoup-d’alcool ! Et c’est quand elle pointe les spécificités persanes avec l’accent et la gestuelle qu’elle est la plus drôle. Tout sonne tellement vrai. D’ailleurs, après le spectacle, elle vous le confirme « Tout est vrai ! » Catherine Schwaab, Paris-Match
C’est avec un esprit léger qu’elle mélange persan et français, tics de langage et spécificités nationales, fierté et sensualité. Nathalie Simon, Le Figaro
rencontre avec l'équipe artistique à l'issue de la représentation du samedi 7 octobre