l’histoire
Annie gère mieux le décès de sa mère que son régime sans gluten. Thierry est addict au crack et vit dehors mais il reste persuadé d'avoir réunion à 14h tapantes. Alex a accepté un film à cheval, même si son pire ennemi est un poney croisé en 1987... Ce n’est là qu’un aperçu des nombreuses figures que le spectateur croisera. Dans ce deuxième one-man-show Alex Lutz présente des gens qui essaient de faire de leur mieux, des gens qui doutent comme le chante Anne Sylvestre à la fin du spectacle et il ne fait jamais rire à leurs dépens.ce qu’ils en pensent
Alex Lutz n’est pas seulement un humoriste au texte soigné, fuyant la vanne facile et l’interactivité avec le public. Il est aussi un mime (impayable chef d’orchestre sans bras), un imitateur (irrésistible homme-singe apprivoisant le cheval), un as de la métamorphose (désopilante paroissienne) et presque un chanteur (Michel Delpech revisité). Sandrine Blanchard, Le MondeLa vie serait moins bien sans Alex Lutz. C’est tout. Qu’il s’agisse de ses sketchs, de ses films, de ses spectacles, cet homme est une parenthèse enchantée. Il revient sur scène avec un nouveau show et une nouvelle galerie de personnages complètement déjantés. On y court et plusieurs fois même. Biba
Avec Lutz, le rire n’est pas dans l’à-peu-près, la précision est de rigueur. Incroyablement riche et varié, ce nouveau spectacle est épatant. Rire bien sûr, mais pas uniquement. Lutz fait aussi réfléchir, ressentir, se souvenir. Le Parisien