l’histoire
Après un concert, le chef Hans Peter Miller, à la tête du Philharmonique de Genève, reçoit dans sa loge un spectateur insistant qui se présente sous le nom de Léon Dinkel et prétend être venu de Belgique pour l’applaudir. Au lieu d’éconduire poliment cet admirateur, Miller se laisse envahir par cet inconnu, l’entrevue se prolonge, le trouble s’installe, l’ombre du passé s’invite, l’angoisse monte. Qui est Léon Dinkel ? Que veut-il ?ce qu’ils en disent
Avons-nous le libre arbitre d’agir et pouvons-nous nous libérer des chaînes laissées par nos pères ? Je pense personnellement que nous sommes maîtres de nos choix. Alors si un père s’est mal comporté de son vivant, pouvons-nous réparer en son nom ou devons-nous porter sa faute et culpabiliser toute notre vie ? Fausse note aborde les thèmes de la transmission, de la réparation mais aussi de la vengeance, cette vengeance qui semble apaiser mais qui finalement ne répare rien. Didier Caronce qu’ils en pensent
Chacun, de l’auteur et des metteurs en scène aux comédiens, a le sens de la tension irrespirable des grands combats, dans ce qui mériterait d’être l’un des succès de la rentrée. Gilles Costaz, WebthéâtreDidier Caron réussit le pari de faire reposer par le seul dialogue d’un duo, autant inattendu qu’efficace, un argumentaire puissant qui tient en haleine de bout en bout. Le binôme fonctionne à merveille, Christophe Malavoy et Tom Novembre ont toute la fibre nécessaire pour transmettre cette dramaturgie où s’immisce une diversité de thème. Prenant. Jacky Bornet, France Info
Vous avez deux acteurs d’une folle séduction qui vous réservent de mâles surprises... Bouleversant et jouissif. Catherine Schwaab, Paris Match