l’histoire
On est trop sérieux quand on a 17 ans. Nicolas, en tout cas, semble avoir du mal à vivre son jeune âge. Il n'est plus cet enfant lumineux qui souriait tout le temps. Que lui est-il arrivé ? Pourquoi sèche-t-il les cours ? Panique à bord : sa mère, dépassée par les événements, ne sait plus quoi faire. Et quand Nicolas demande à vivre chez son père, ce dernier tente tout pour le sauver de son mal-être et lui redonner le goût de vivre. Mais peut-on vraiment sauver quelqu'un contre soi-même et autre que soi-même ?ce qu’ils en disent
Pourquoi ce garçon de 17 ans a-t-il tant de mal à vivre ? D’où lui vient cette détresse soudaine ? Ceux qui l’entourent tentent de l’aider, mais ne parviennent pas à comprendre ce qui lui arrive. Traverse-t-il un épisode dépressif ? Lui est-il arrivé quelque chose au lycée ? Est-ce seulement l’adolescence ? L’épreuve des parents tient précisément au fait que ces questions ne trouvent pas de réponses. Or il n’y a rien de plus douloureux que de voir souffrir une personne aimée sans pouvoir l’aider... Je voulais, à travers cette pièce, me rapprocher de ce moment où quelque chose se déchire : l’enfant que nous avons élevé cesse d’être celui que nous connaissions, pour devenir un être autonome, inquiétant et qui nous échappe. Cette pièce raconte l’histoire d’un père qui tente de sauver son fils, mais qui n’y parvient pas. Florian Zellerce qu’ils en pensent
Florian Zeller réussit avec ce Fils-là, interprété avec une rare vérité, un de ses drames les plus bouleversants... Fabienne Pascaud, TéléramaLa pièce de Florian Zeller montre un adolescent aux prises avec la dépression et le désarroi impuissant de ses parents. Un chef-d’oeuvre. Jérôme Béglé, Le Point
À tous les pères d’un enfant de plus de quinze ans, Florian Zeller plante un miroir dans le coeur. Christophe Barbier, L’Express
Le Fils est sans conteste la meilleure des douze pièces écrites par Florian Zeller. Sobre et dense du point de vue des dialogues comme de l’architecture. On a affaire à un grand auteur de théâtre. Jacques Nerson, L’Obs