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l’histoire |
Argan, veuf, est remarié à Béline qui n’attend que la mort de son mari pour hériter, tandis que celui-ci multiplie saignées, purges et ingère toutes sortes de remèdes. Angélique, sa fille, veut épouser Cléante, mais Argan préférerait avoir pour gendre Thomas Diafoirus, il disposerait ainsi d’un médecin à demeure… La mise en scène de Claude Stratz (1946 - 2007) a été créée en 2001 par les Comédiens-Français, elle est depuis régulièrement reprise.ce qu’ils en disent |
Le Malade imaginaire a suscité les interprétations les plus contradictoires : on a joué Argan malade, on l’a joué resplendissant de santé ; on l’a joué tyrannique, on l’a joué victime ; on l’a joué comique, on l’a joué dramatique. C’est que tout cela y est, non pas simultanément mais successivement. Molière propose une formidable partition, toute en ruptures, toute en contradictions où le comique et le tragique sont étroitement imbriqués l’un dans l’autre, où ils sont l’envers l’un de l’autre. Derrière la grande comédie qui a intégré certains schémas de la farce, on découvre l’inquiétude, l’égoïsme, la méchanceté, la cruauté. Claude Stratzce qu’ils en pensent |
Quelle austère harmonie, quelle élégance dans les costumes et le décor d’Ezio Toffolutti ! D’emblée, on est sous le charme d’une vision noire et poétique. Très réussis : les intermèdes chantés et dansés par des Polichinelles. Bravo à Claude Stratz et à toute la troupe ! Frédéric Ferney, Le FigaroCe Malade est beau comme une danse de masques au crépuscule, poignant comme le paraphe du mourant au bas de son testament et joyeux comme une farce faite à un vieil oncle grincheux. La force de la lecture de Stratz ? Avoir pris au pied de la lettre la maladie d’Argan, sans sacrifier la vitalité du rire, le bonheur des lazzis. Alexandre Demidoff, Le Temps
Un vrai bonheur. Stratz s’est complu à faire vibrer chaque harmonique de la dernière pièce du maître de l’Illustre-Théâtre. Formidable, vous dis-je. Du vrai théâtre. Jean-François Bouthors, La Croix