l’histoire |
Trois ukulélistes en concert ? Voilà qui n’arrive pas tous les jours et qui promet bien des surprises si ce sont des clowns… Viendront-ils à bout de leur prestation, entre guerre d’ego et de tempos, pupitres bancals et désir de séduire une spectatrice ? La reprise des standards musicaux n’en sortira pas indemne et cependant des notes aigrelettes et de la confusion bien orchestrée surgira une émotion bien réelle au milieu des fous-rires.ce qu’ils en disent |
L’humour physique sera au rendez- vous je n’y peux rien, j’aime l’universalité du corps comique. J’aime les maladroits, ceux qui ratent… Après des années de sacrifices à travailler leur instrument, aujourd’hui c’est le grand jour ils sont enfin prêts à tout donner même ce qui n’était pas prévu ! Thomas GarciaIls m’ont tous les trois regardée de leur oeil bleu-voyou et m’ont dit : « Assieds-toi, prends un crayon, un papier, ton thermos de thym et on s’occupe du reste. » Les clowns ne finissent pas de m’étonner. Charlotte Saliou
ce qu’ils en pensent |
De Bach à Mozart en passant par Stevie Wonder, ils égrènent leur répertoire éclectique. Aussi touchants dans leurs maladresses que lorsqu’ils jouent sur la corde sensible. Comme avec cette planante reprise du légendaire Space Oddity de David Bowie, tout simplement magique. Ils sont irrésistibles. Sophie Casals, Nice-Matinrencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du jeudi 13 février