l’histoire |
C’est l’histoire d’une rencontre et d’une amitié entre deux jeunes hommes que tout oppose. Babar est un grand costaud qui s’est engagé dans des études de médecine pour faire plaisir à ses parents, et Jo une boule de nerfs qui vit hors des sentiers battus pour le meilleur et pour le pire. Ensemble, ils se racontent un road trip tragique dans la France des années 1970, accompagnés d’une bande son rock’n’roll signée Dylan, Bowie, Joplin, Hendrix…ce qu’ils en disent |
Pour moi, l’intuition est beaucoup plus forte qu’imaginer faire des plans. Toute psychologie a été bannie de la pièce. Nous avons travaillé sur nos sensations, et pas sur l’intellectualisation. Paul Pascotce qu’ils en pensent |
Un hymne à la vie, à la liberté et à la volonté de changer le monde. Gérald Lucas, Le Dauphiné LibéréDans un subtil travail en épure (pas ou peu de déplacements), les comédiens, confinés chacun dans leur espace, ne se toucheront jamais, et pourtant, rarement une relation aussi fusionnelle a été portée à la scène. Maryvonne Colombani, Zibeline
Rappelant à la fois l’univers du roman de Steinbeck Des souris et des hommes et celui du célébrissime road movie Easy Rider, la vision que Paul Pascot a du texte de Kribus, demeure déchirante d’humanité. Jean-Rémi Barland, La Provence
rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du mercredi 18 décembre