l’histoire |
« Une fantasmagorie douteuse pour grandsmères fragiles et enfants hors d’âge, une suite inachevée pour orchestre à pieds, pour déhanchements cadrés, pour molles enjambées, une réflexion sur le doute et la magie… » Shazam, c’est son chorégraphe, Philippe Decouflé, qui en parle le mieux. Shazam, c’est l’abracadabra des magiciens et des sorcières. Et le spectateur est invité à une féerie indescriptible, une chorégraphie qui emprunte au mime, au cirque, au théâtre, à la télévision, à l’illusionnisme, à la peinture, au cinéma bien sûr. En unissant toutes les formes d’art, Decouflé, se fait l’orchestrateur de rêves éveillés à la manière de Méliès à qui hommage est rendu.ce qu’ils en disent |
Tex Avery m’a beaucoup inspiré dans la recherche de gestes a priori impossibles à réaliser... Il me reste toujours quelque chose de ce désir, une bizarrerie dans le mouvement, quelque chose d’extrême ou de délirant... Je recherche une danse du déséquilibre, toujours à la limite de la chute. Avec des modèles comme les Marx Brothers par exemple, et en particulier Groucho Marx, j’ai cultivé la prise de risque malicieuse, la répétition comique de l’erreur. Philippe Decoufléce qu’ils en pensent |
Shazam ! mérite son point d’exclamation. On lui en rajouterait bien trois autres tant il est époustouflant, tant il est émouvant. Le couvrir de qualificatifs élogieux est facile… Laure Pelé, Le ParisienUne fois encore, Philippe Decouflé parvient à faire l’unanimité, à désarmer les esprits les plus chagrins, à enchanter le regard. Chantal Aubry, La Croix
Shazam est porteuse de rêves, d’illusions, d’images, de jeux de miroirs et de métamorphoses tout en arborant une étonnante sobriété. Claudia Colozzi, La Terrasse