IMANY

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voodoo cello à anthéa

Information COVID-19

Suite à la fermeture des lieux culturels, le spectacle est reporté au mois de juin.
Si vous aviez des billets, vous recevrez un e-mail pour vous détailler les options qui s’offrent à vous.


l’histoire |

Le souvenir qu’a laissé Imany lors de son passage à anthéa fin de 2015 est ineffaçable. Depuis une dizaine d’années, la beauté de son timbre, ses compositions inspirées de la soul, du folk, du blues touchent au plus profond. Française d’origine comorienne, née à Martigues, Imany a fait ses classes à New York et s’est trouvée des modèles en Tracy Chapman, Tina Turner. Elle s’attelle à un tout nouveau projet qui est un hommage aux grandes mélodies et aux textes qui ont chanté la puissance du féminin. Voodoo Cello revisite des standards de Bob Marley à Donna Summer, de Cat Stevens à Radiohead... mêlant avec bonheur les graves d’une voix aux cordes frottées du violon-celle, cet ami de l’âme.

ce qu’ils en disent |

Voodoo Cello est né entre deux tournées, deux bébés. C’est d’abord le désir de se mettre en danger, de sortir de ses habitudes, d’aller plus loin dans l’exploration artistique. (...) Le violoncelle est un instrument aux courbes féminines qui appellent au respect et à la douceur.
C’est aussi et surtout l’instrument le plus proche de la voix humaine. Il a une très grande tessiture et permet d’aller très loin dans les arrangements. Lorsque l’on touche à la voix, on touche au divin. Voodoo Cello a pour vocation de rendre le « divin » accessible et désacraliser la musique classique en invitant la musique pop avec ses propres codes à se réinventer, à se transformer. Avec l’aide de Bob Marley, Bonnie Tyler, Hozier, Radiohead et tant d’autres artistes contemporains, Voodoo Cello veut faire tomber les barrières qui existent entre ces deux mondes. C’est un spectacle au caractère hybride et de fait il ne s’impose aucune limite. Imany

ce qu’ils en pensent |

Imany parle et chante, chante et parle, de cette même voix de basse, masculine et ravinée, cuir gaufré et rhum-tabac. Une voix huileuse comme le cache-poussière d’un rôdeur du crépuscule et assombrie comme l’enrobée de cette Highway 66 que dévalerait des Easy Rider noctambules. Luc Le Vaillant, Libération
Imany a davantage qu’un style : une voix grave qui mêle la puissance de Tracy Chapman, la gravité de Nina Simone et la soul de Lauryn Hill. Son premier album, disque d’or en quelques mois, revendique toutes ces influences folk, soul ou blues. Mina Soundiram, L’Express
2020
2021