UN PRINCE
la nouvelle création anthéa du comédien sami bouajila, récompensé au festival de cannes, nommé aux césars et à la mostra de venise...
Sami Bouajila, seul en scène, donne vie au texte poétique et inspiré d’Émilie Frèche qui s’attache sans relâche aux destins brisés par la grande Histoire, celle de l’Algérie et de la France.
- mardi 3 novembre 2020 à 18h30 reportée
- mercredi 4 novembre 2020 à 18h30 reportée
- jeudi 5 novembre 2020 à 18h30 reportée
- vendredi 6 novembre 2020 à 18h30 reportée
- samedi 7 novembre 2020 à 18h30 reportée
- dimanche 8 novembre 2020 à 15h00 reportée
- mardi 2 février 2021 à 20h30 reportée
- mercredi 3 février 2021 à 21h00 reportée
- jeudi 4 février 2021 à 20h30 reportée
- vendredi 5 février 2021 à 21h00 reportée
- samedi 6 février 2021 à 21h00 reportée
- dimanche 7 février 2021 à 16h00 reportée
- mardi 6 juillet 2021 à 20h30
- mercredi 7 juillet 2021 à 21h00
- jeudi 8 juillet 2021 à 20h30
- vendredi 9 juillet 2021 à 21h00
- samedi 10 juillet 2021 à 21h00
- dimanche 11 juillet 2021 à 16h00 annulée
à voir en famille avec les ados
salle Pierre Vaneck
mise en scène Marie-Christine Orry
avec Sami Bouajila
chorégraphe Jean-Pierre Bonomo
scénographie Jean-Pierre Laporte
vidéo Paulo Correia
lumières Daniel Benoin
production anthéa, théâtre d’Antibes
coproduction Yami Productions
l’histoire |
Un homme seul, dépossédé de tout, un prince... La ville l’a rejeté avec d’autres dans un non-lieu périphérique où il a planté sa tente. Désormais, il ne lui reste plus qu’à chercher à mettre des mots sur son histoire inaboutie. Commence alors un voyage immobile à travers ses fictions car c’est d’elles que vient la connaissance. Les fantômes surgissent et en particulier celui du père. Comment choisir entre la trahison et la fidélité au souvenir de cet héritage qui le hante ? Une quête faite de poésie pour retrouver un paradis perdu où tout serait apaisé.ce qu’ils en disent |
Si j’ai décidé de m’aventurer dans ce récit en tant qu’interprète et coproducteur, c’est avant tout pour sa résonance avec mon histoire, mes doutes existentiels et parce qu’il me renvoie à l’une des préoccupations premières de nombreux comédiens, celle de mettre en jeu dans la fiction des expériences profondes, comme il en existe dans la vie à travers des rôles qui ne sont pas des caricatures d’êtres humains. Sami Bouajilarencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du jeudi 5 novembre