l’histoire
Jean-Michel Ribes lit aujourd’hui ses propres textes, après avoir fait les beaux jours des gens de théâtre, de télévision ou de cinéma : Musée Haut, Musée Bas, Palace, Merci Bernard, et tant d’autres créations toujours surprenantes dans leur folle fantaisie. Il ne pouvait pas quitter le théâtre du Rond-Point sans un dernier slalom entre la bienpensance, le bon sens rassis, les sachants définitifs tapis dans leur forteresse de certitudes. Accompagné en alternance de Marie-Christine Orry ou Manon Chircen, l’une et l’autre irrésistibles actrices, Jean-Michel Ribes tient le cap de ses délires avec l’aisance d’un navigateur de l’absurde, entraînant à sa suite un public qui en redemande. Encore !ce qu’ils en disent
Carnets de la dernière pluie, ce sont des carnets que j’ai retrouvés, un jour de pluie d’ailleurs, et où j’avais noté des tas d’idées, des tas de petites histoires, des choses drôles, insolentes, piquantes, subversives. Jean-Michel RibesIl y a quelque chose qui me scotche dans son écriture : il part d’une idée absurde, on se demande comment il va la développer et il trouve toujours une porte à ouvrir dans le rationnel... Marie-Christine Orry
ce qu’ils en pensent
Jean-Michel Ribes parle merveilleusement de ses amis et de tous ceux qu’il aime. Jean-Luc Porquet, Le Canard enchaînéRemède contre le désespoir. Philippe Chevilley, Les Échos
Revenons au présent. Les textes de l’écrivain Ribes tiennent bien le coup. Il n’a jamais été un homme insouciant. Il a été léger. Insolent. La cascade des textes est épatante. Féroces, terribles. Irrésistibles. Armelle Héliot