l’histoire
Le cinéma est relié à la musique et Luz Casal est là pour le prouver, elle qui a vu sa carrière décoller lorsque le réalisateur Pedro Almodovar a utilisé deux de ses titres pour son film Talons aiguilles en 1991. Partie de Galice, elle a conquis l’Europe avec sa voix captivante et sa personnalité unique. Depuis, la chanteuse espagnole fait partie des quelques rares artistes hispaniques à jouir d’une notoriété aussi conséquente dans le monde. Avec son 17e album, cette icône de la musique nous invite à explorer les recoins de son âme, dévoilant une profondeur artistique exceptionnelle. De passage à anthéa, elle nous offre un récit musical exceptionnel.ce qu’ils en disent
Dans ma vie musicale, j’ai toujours suivi deux chemins parallèles. Un côté classique et un côté rock. Une Luz espagnole et une Luz plus internationale. J’ai plusieurs identités à la fois. J’aime la nuit, mais j’adore me lever de bonne heure. Je veux que mes albums et mes concerts soulignent ma dualité. À ce moment de ma carrière, avec mon expérience de la scène, j’aime d’abord communiquer une émotion. Cela passe par les textes mais aussi par la mélodie, l’expression, l’intensité que je peux y mettre, les mouvements de mon corps. À l’occasion de mes tournées à l’étranger, j’ai toujours beaucoup aimé quand les gens reprenaient les chansons. C’est une façon de me rapprocher du public. L’important, c’est d’être une chanteuse aimée. Les marques d’amour du public, quel qu’il soit, me touchent énormément. Luz Casalce qu’ils en pensent
Luz Casal a une voix tout en dentelles, en transparence. Un charme, une féminité libre et sensuelle, une élégance. Véronique Mortaigne, Le MondeLa chanteuse galicienne n’a rien perdu de son magnétisme, qu’elle excelle dans sa langue d’origine ou qu’elle s’essaye à des titres rendant hommage à la chanson française qu’elle chérit tant. Xavier Hurtevent, La Dépêche
Luz Casal est une touche-à-tout, une aventurière toujours en mouvement à la sensibilité sans frontières. Une diva gracieuse, élégante et mystérieuse. Sacha Reins, Paris Match