Philippe Lellouche<br>Stand Alone

Philippe Lellouche
Stand Alone

un moment de bonheur
abonnez-vous

l’histoire

Après 15 ans de triomphe au théâtre, Philippe Lellouche propose un voyage dans le temps. Seul en scène pour la première fois, le comédien se livre dans un rapport intime avec le public. Un spectacle drôle et réconfortant de nostalgie heureuse dans lequel il partage avec autodérision ses souvenirs d’enfance, ses émois amoureux et bien sûr ses névroses. Philippe Lellouche nous captive et nous séduit, démontrant une fois de plus son talent et sa capacité à émouvoir, divertir et toucher un large public.

ce qu’ils en disent

Comme chaque chose que j’entreprends, et à chaque fois, il y a l’envie de raconter des histoires. Je n’aime que cela dans la vie. J’ai démarré journaliste, puis comédien, réalisateur, et aujourd’hui, je continue sur scène. C’est juste la manière qui change. Mon spectacle, ce sont les réflexions d’un homme qui a passé 50 ans et qui repense à sa jeunesse avec une nostalgie heureuse. Mais attention, c’est un spectacle universel, pour tous les âges. Cela va bien sûr parler à ceux qui ont passé la quarantaine, car il y a beaucoup de références aux années 70, 80 et 90, mais le jeune public est également concerné, car j’évoque aussi le monde d’aujourd’hui, que j’égratigne un peu, avec humour évidemment. J’ai toujours aimé faire rire, le rire est essentiel, et si je peux participer à ensoleiller la journée de ceux qui viennent me voir, mon pari sera réussi. Philippe Lellouche

ce qu’ils en pensent

Un premier seul-en-scène réussi sur la génération des quinquas et quelques absurdités de notre époque. Les confessions d’un enfant du siècle dernier, drôle et touchant. Baptiste Thion, Le JDD
Philippe Lellouche brise le quatrième mur dans un spectacle introspectif et nostalgique. Un moment intergénérationnel d’humour et de sincérité. Adrien Pateau, La Dépêche
Le comédien aux multiples casquettes enfile celle de l’attachant humoriste. Une thérapie pour traverser la crise de la cinquantaine, avec dérision. Simon Pierre, Le Figaro
abonnez-vous